lundi 22 avril 2013

Pierre Desproges Forever



Les pensées de Pierre Desproges sont irremplaçables, la preuve :

☛ Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.

☛ La caractéristique vestimentaire du con consiste en un besoin irrésistible de s’habiller comme tout le monde.

☛ Plus je connais les hommes, plus j’aime mon chien. Plus je connais les femmes moins j’aime ma chienne.

☛ Il y a un seul cas où il est convenable d’aborder une femme laide. C’est pour lui demander si elle ne connaît pas l’adresse d’une jolie femme.

☛ Et puis nos coutumes divergent et divergent c’est énorme.

☛ À part la droite, il n’y a rien au monde que je méprise autant que la gauche.

☛ Si c’est les meilleurs qui partent les premiers, que penser alors des éjaculateurs précoces ?

☛ On peut rire de tout mais pas avec tout le monde.

☛ Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un peu d’entraînement, on peut arriver à en faire des militaires.

☛ On s’ennuie vite à jouer au tennis, à cause, bien sûr de l’inertie de la balle, alors que si vous remplacez la balle par un poussin, c’est le fou rire assuré.

☛ Quand quarante personne s’habillent comme un con, c’est l’académie française.

☛ Quand mille personnes s’habillent comme un con, c’est l’armée française.

☛ Dans la Collaboration, pour bien gagner sa vie, il faut dénoncer des Juifs. Ce n’est pas très marrant de dénoncer. Oui, mais dans la Résistance, on ne dénonce pas les Juifs, il faut vivre avec...

☛ Je suis un gaucher contrariant. C’est plus fort que moi. Il faut que j’emmerde les droitiers.

☛ L’âge mûr, par définition, c’est la période de la vie qui précède l’âge pourri.

☛ Je ne bois pas de lait le matin, ça fait cailler la tequila de la veille au soir.

☛ Testis unus, testis nullus : on ne va pas bien loin avec une seule couille.

☛ De toute façon, je n’aurai pas le cancer. Je suis contre

☛ Le jour de la mort de Brassens, j’ai pleuré comme un môme. Alors que – c’est curieux – mais, le jour de la mort de Tino Rossi, j’ai repris deux fois des moules.

☛ Dieu a dit : "tu aimeras ton prochain comme toi-même". D’abord, Dieu ou pas, j’ai horreur qu’on me tutoie...

☛ Privé de son amour, je me sentais seul, aussi seul que Decker quand Black est aux putes.

☛ Au lieu de vous emmerder à lire tout Sartre, achetez Minute : pour dix balles vous aurez la Nausée ET les Mains sales.

☛ La culture, c’est comme l’amour. Il faut y aller à petits coups au début pour bien en jouir plus tard.

☛ Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c’est l’idéal.

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