Le titre de l'article ne fait pas référence à l'excellent roman de Gaston Leroux ni à la non moins excellente oeuvre télévisée du même nom (pour ceux qui ne connaissent pas, une recherche sur Youtube devrait aller...) mais à la conception pour le moins bizarre voire malsaine qu'à Maria Rubinke concernant les poupées de porcelaine... ou pas. On appelle ça de l'art morbide ou du trash-art. Voyez vous-même, c'est forcément dérangeant...
ça n'y fait pas référence, mais ça me rappelle tout de même certaines scènes du téléfilm ...
RépondreSupprimerTrash et spécial ... mais c'est l'époque qui veut ça ...