Ce n'est pas moi qui le dit et l'esthétique est une chose tellement subjective que même en matière d'automobile, on peut dire que tous les goûts sont dans la nature. Le célèbre site américain Edmunds.com, une énorme base de données sur l'automobile, a décidé de faire son classement des 100 voitures les plus moches que nous allons détailler en 10 articles.
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50e, Cadillac Seville 1980 : la lignée des Seville existe depuis 1956 chez Cadillac mais pour l'année 1980, le constructeur américain, filiale de General Motors, a décidé de frapper un grand coup et que tout le monde se souviendrait de cette Seville. Ca a marché au delà des espérances, cette voiture, avec son horrible coffre arrière digne des années 30, ayant marqué durablement les esprits. À tel point que j'ai encore des frissons quand je la regarde... |
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49e, Oldsmobile Cutlass 1978 : une victime, que dis-je, une fan de plus pour la Renault 16, cette Cutlass. Une américaine de cette époque, avec ses chromes et ses lignes acérées, dotée d'un hayon, je sais pas pour vous mais pour moi, ça passe toujours pas. |
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48e, Datsun B-210 1973 : les normes américaines de sécurité sont sévères et imposent aux voitures importées de gros pare-chocs, par exemple. En 1973, Nissan s'appelle encore Datsun à l'export et sa berline compacte B-210 est l'une de ses armes outre-atlantique. mais ces gros pare-chocs n'aident certainement pas cette voiture d'une banalité affligeante, comme savaient l'être bien des japonaises de cette époque. |
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47e, Cadillac Cimarron 1982 : cette Cadillac ne restera même pas dans les annales grâce à une esthétique ingrate ou curieuse que l'on n'oublie pas, voir la Seville ci-dessus. Non, cette Cimarron n'est restée nulle part pour une raison simple, sitôt qu'on l'a vue, on l'a oubliée. On parlait de quoi, déjà ? Hein ? |
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46e, Ford Thunderbird 1980 : encore une Thunderbird qui ne fait pas honneur à son nom avec sa ligne cunéiforme, son pavillon typique des années rétrogrades de l'esthétique automobile américaine et de ses proportions qui resteront à jamais incompréhensibles pour les européens. À oublier au plus vite... |
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45e, BMW 5 Serie GT 2010 : la voilà, la Renault 16 de BMW ! Le constructeur allemand n'a pas toujours fait dans un desifn emprunt de légèreté mais avec cette 5 GT, il a battu des records de lourdeur et de laideur. La sanction était évidente, les ventes de cette déclinaison de 5 ne sont pas folichonnes. Notez qu'en plus, la seule bonne idée de cette GT vient de son hayon qui peut s'ouvrir également comme un coffre classique. mais c'est un brevet déposé par... Skoda et utilisé sur la Superb qu'a repris BMW pour cette 5 GT. |
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44e, Plymouth Valiant 1961 : à chaque fois c'est la même chose avec les voitures américaines. On se dit que l'on vient de franchir un pas dans l'horreur esthétique et que ce n'est pas possible de faire plus moche... et on découvre encore mieux, ou pire, au choix. celle Plymouth Valiant est vraiment une perle car elle condense vraiment toute la laideur automobile. Et elle est vraiment affublée d'un physique ingrat car elle n'est même pas restée culte... |
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43e, Pontiac Grand Prix 2+2 1986 : c'est un peu injuste pour cette Pontiac de se retrouver dans ce classement pour deux raisons. La première est qu'elle n'est pas si moche que ça dans le style muscle-car un peu victime de tuning d'usine. Le becquet est quand même bien intégré, les jantes sont chouettes et le tout assez cohérent. La seconde est que cette Grand Prix a vu le jour commercialement parlant uniquement (ou presque) pour en dériver une version compétition destinée à la Nascar. Avec des gènes comme ceux-là, comment voulez-vous avoir un physique de jeune première... |
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42e, BMW X6 2008 : seconde BMW de ce classement, c'est ce drôle de machin qu'est le X6 qui se veut le croisement idéal (?) entre un SUV et un coupé. Ce qui donne un SUV à cinq portes mais bien moins pratique que son modèle, le X5. En plus, il n'est pas très beau avec cet arrière coupé à coup de machette et ses mensurations peu... discrètes. Mais ça marche, ça se vend car il y a écrit BMW à l'avant. |
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41e, Ford Mustang II 1974 : dire que ce tas de ferraille ose revendiquer l'héritage de la fabuleuse Mustang MK1 (Bullit, rappelez-vous !) et pire, s'appeler elle-aussi Mustang. Le plus bel exemple qui soit du coup marketing qui tombe à l'eau et à ne surtout pas faire. Mais Ford s'en mordra les doigts après coup. |
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